La première édition du colloque international hybride sur le droit l’homme au développement en Guinée a été lancée ce mardi 24 janvier 2023 dans la salle conférence de bibliothèque l’institut Supérieures Des mines et géologie boke qui a connu participation des autorités régionales préfectorales communales boke les représentants des sociétés minière les responsables de l’institut Supérieur des mines et géologie Boké et les étudiants venus de horizon pour discuter sur plusieurs sujets liés au développement de la Guinée. Le thème retenu est contribution de l’industrie extractive dans la réalisation du droit au développement en Afrique : Opportunités et défis .
Pour dr daouda keita le Directeur général de l’institut supérieur des mines et géologie de Boké a remercier d’abord les organisateurs pour le choisi son institution pour abriter cette rencontre. l’importance de ce débat lié au développement de la Guinée
Surtout La question d’exploitation des ressources minières de l’environnement et du droit au développement, c’est une question structurante pour toute l’humanité. C’est une vision du monde qui nous oblige à réinventer nos comportements et notre philosophie d’action. Ce colloque deviendra un temps fort du débat sur le droit au développement dans notre pays. Ce débat ne s’exercera pas que pendant 3 jours Il a lieu tout au long de notre vie, notamment au sein de toutes les communautés scientifiques, politiques et culturelles de notre nation
pour Aminata KEBE la représentante adjointe du Haut-commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH) en Guinée a pointé du doigt la violation des droits de l’homme dans des pays à travers le monde qui ont pourtant ratifié plusieurs conventions internationales liées au développement et aux droits de l’homme. aujourd’hui encore l’humanité peine à atteindre la pleine réalisation des droits qui y sont proclamés et repris à travers plusieurs traités et conventions tant au niveau régional qu’international. Vous conviendrez avec moi que dans plusieurs endroits du monde, la plupart de ces droits sont encore méconnus étouffés, bafoués et en particulier les droits économiques, sociaux et culturels. La question du droit au développement s’invite donc depuis quelques années à l’agenda de la communauté internationale, des gouvernements et des médias. Elle prend une résonance particulière dans les pays et communautés disposants de ressources naturelles imposantes et utiles à la mondialisation pour pérenniser son modèle de développement
Pour Mamadou Camara, gouverneur de Boké a encouragé d’abord les participants et leur demandés d’orienter leurs débats dans le sens de la cohabitation pacifique entre les agents miniers et les communautés Je ne doute pas de vos capacités intellectuelles à ramener à travers la pertinence de vos débats les différents acteurs : agents miniers et communautés, à une coexistence pacifique. A l’Etat de poursuivre les améliorations nécessaires des conditions de vie des populations des zones minières, surtout la réorientation des revenues miniers vers les secteurs vecteurs de développement
A rappelle Durant les trois 3 jours, les discussions vont se poursuivre dans la salle de conférence de la bibliothèque de l’Institut supérieur des mines et géologie Boké pour parler les droits et développement en guinnee