« C’est-à-dire que maintenant, si je suis président, c’est que c’est un devoir que mes camarades me demandent d’accomplir. Moi j’ai fait ma part. Et je suis fier d’avoir été là au moment où c’était la guerre. Si mes camarades avec qui je me bats, estiment qu’il n’y a pas mieux que moi pour les échéances à venir, alors on se prépare. Mais ce n’est plus une obsession », dit-il.