Plus loin, il afflige en ajoutant que. << Ça, de ce point de vu là, la politique a réussi à le faire. Et le constat sur le terrain est que, si nous ne prenions pas garde on risque de déclencher dans ce pays et, ce processus a déjà commencé.
Le processus de désenchantement politique et démocratique.
Nos compatriotes, nos concitoyens ne croient plus ni à la démocratie, ni à la politique.
Parce-que la politique et la démocratie ne les permettent pas de manger à leur faim, ne les permettent pas de se soigner, ne les permettent pas de se loger. L’environnement est déglingué complètement.
Nous sommes dans une situation. L’école, c’est la faillite d’accord ?
Et, de ce point de vu là, cette dynamique et je ne peux pas en dire plus, nous travaillons effectivement pour la mise en place de quelque chose de collectif avec toutes les bonnes volontés de notre pays sur des questions sociales pour que les Guinéens puissent être un peu heureux dans leur pays et, ce travail là, la réflexion et le travail, les échanges sont en cours où il faut prendre le temps >>. Ajoute t-il.
Avant de terminer, il a proposé des pistes de solutions pour atténuer la tension politique en Guinée.
<< Il y’a deux choix, la première chose, on n’aurait aimé espérer avoir un pouvoir de ceux qui gouvernent prendre de la hauteur et regarder comme le disait un penseur » les choses les plus essentielles se voient par le cœur pas à l’œil nu « . Et, regardez l’État désastreux de ce pays, en terme d’unité nationale, en terme de liberté, en terme de justice, en terme du pouvoir d’achat.
Donc, la première solution est que ceux qui gouvernent règnent de la hauteur, sortent de la politique politicienne et, enfin s’occupent des Guinéens et des sujets concrets qui doivent commencer nécessairement en Guinée pour moi par d’autres préalables essentiels aujourd’hui pour ce pays, c’est la libération des prisonniers politiques >> . A laissé entendre l’ex patron du département des droits de l’homme.