L’agriculture est considéré par bon nombreux d’observateurs comme un levier de croissance économique et de développement durable dans notre pays. Cependant, les amour de la terre confrontés à d’énormes difficultés notamment de l’incident, d’inondations. C’est le cas par exemple, Dr Elhadj Mohamed Keita radiologue à l’hôpital régional de kindia qui s’est investi dans ce domaine il ya de cela 40 bonnes années.
Avec la forte pluviométrie que la préfecture a connu cette année,
Ce Passionné de l’agriculture a vu plus 50 hectares de son riz ravagé par les eaux.
« J’ai eu la passion depuis très longtemps de faire l’agriculture c’était en 1985. On a commencé par l’agriculture rituelle, on est parti à latelé et maintenant nous sommes à l’agriculture mécanisé. Avant que je n’arrive là, j’étais toujours avec les agronomes. Ceux de Foulaya, de bamban et de kelissi pou conseiller. Ils étaient vraiment là pour moi, a apporter leurs expertises et connaissances en agriculture.
Cette année on avait fait cinq champs mais malheureusement les deux autres champs, on a pas eu de réussite là bas. Il ya eu l’inondation des deux champs qui sont au bord des fleuves de Kolenté et le Kora et associé. Donc, ça inondés les deux champs. Les trois autres, on a fini une partie du deuxième champ où on a fait une variété tardive et c’est le troisième champ que nous sommes. Nous évoluons avec deux variétés, le CK90 qui a un circle intermédiaire, c’est-à-dire 4 mois 15 jours environs et le Koudjan qui a un circle retard. Les pertes, je peux pas vous le dire mais c’est énorme. Imaginez, un investissement sur plus de 50 hectares, l’eau ravage tout sur son passage. Quel que soit la chose, c’est pas facile de recouvrir toutes ces pertes » A-t-il déclaré.
Avant d’inviter les personnes de bonne volonté et les autorités de l’accompagner pour qu’il puisse dans le futur plus d’hectares.
« On demande de l’aide. Présentement avec les pertes que nous avons subie, nous avons pas les moyens maintenant. Nous vivions du jour au jour pour pouvoir récolter nos récoltes. Si nous trouvons de l’aide réellement ça allait vraiment nous propulser. En plus, demander encore l’aide au gouvernement, on a envi de faire plus que ça mais avec un seul maçoneuse- batteuse, on ne peut pas. Également on a quatre tracteurs, on peut travailler grandement. Mais si on a pas un camion pour le transport des récoltes, les moyens pour acheter les intrants et autres et une autre l’averda. L’intention ne sera pas aboutir » A invité Dr Elhadj Mohamed Keita.