La cheffe de service genre et équité du ministère de la justice et des droits de l’homme a prit part à la 68e session annuelle de la Commission de la condition de la femme (CSW68), le plus grand rassemblement annuel des Nations Unies consacré à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes, qui a démarré le 11 mars et pzcrendra fin le 22 mars 2024, sous le thème prioritaire: « Accélérer la réalisation de l’égalité entre les hommes et les femmes et l’autonomisation de toutes les femmes et les filles en s’attaquant à la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective d’égalité entre les hommes et les femmes ».
« Le monde se trouve à un point tournant crucial pour l’égalité des sexes. Actuellement, 10,3 % des femmes à l’échelle mondiale vivent dans l’ extrême pauvreté , et sont plus pauvres que les hommes. Le progrès vers l’éradication de la pauvreté doit être 26 fois plus rapide pour atteindre les Objectifs de développement durable d’ici 2030.
L’accélération des progrès nécessite des investissements. Selon les données provenant de 48 économies en développement, il faut 360 milliards de dollars de plus chaque année pour parvenir à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes dans le cadre d’un éventail d’objectifs clés mondiaux, notamment l’élimination de la pauvreté et de la faim », lit-on dans un document transmis à la presse.
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