Dans son allocution à l’occasion de cette célébration, le Premier ministre Dr Bernard Goumou a réitéré la volonté du Comité National pour le Rassemblement et du Développement (CNRD) avec le gouvernement qu’il dirige a toujours œuvré pour le respect des droits de l’Homme dans le pays.
» La célébration de cette fête internationale, nous offre tout d’abord une grande opportunité: celle de défendre les valeurs fondamentales de la personne et des fondements de la paix, de la justice, de la dignité humaine, de l’égalité de tous et la solidarité humaine. Elle marque aussi le lancement d’une campagne annuelle des 75 ans de la déclaration universelle des droits de l’Homme.
C’est aussi une occasion de mieux faire connaître la déclaration universelle des droits de l’Homme en tant que modèle qui servira à prendre des mesures concrètes afin de défendre les droits de l’Homme (…) depuis l’avènement le 5 septembre 2021, le Colonel Mamadi Doumbouya, président de la transition n’a jamais cessé d’affirmer clairement sa volonté pour l’effectivité des droits de l’Homme en Guinée », a déclaré Dr Bernard Goumou.
Pour sa part, le coordinateur du système des Nations Unies en Guinée a souligné qu’avec l’appui des partenaires dans ce sens que la Guinée devait poursuivre ses efforts pour la mise en œuvre de sa politique nationale pour la promotion et la protection des droits de l’Homme.
» Comme le souligne le secrétaire général de l’ONU M. Antonio Guterres, je cite » nouveaux nouveau défis en matière de droits humains émergent de la triple planétaire du changement climatique, de la perte de la biodiversité, de la pollution.
Nous commençons seulement à appréhender la menace que représente pour les droits humains, certaines nouvelles technologies aussi. En ce temps difficile, nous devons raviver notre engagement en faveur de tous les droits humains, civils, culturels, économiques, politiques et sociaux.
L’appel à l’action que j’ai lancé en 2020 place les droits humains au cœur des solutions au cœur de défis (…) Nous devons travailler ensemble pour améliorer le mécanisme en faveur de l’application du mécanisme en faveur de l’application de recommandation formulées par des instruments internationaux par les droits de l’homme » a exhorté Dr Vincent Martin.
Quand au ministère de la Justice et des Droits de l’Homme représenté par sa secrétaire générale, Irène Marie Hadji Malis a indiqué que son département jouera sa partition pour faire respecter dans le pays les droits humains.